mardi 5 janvier 2010

Et si la première impression n'était pas la bonne?

En Allemagne les grosses berlines défilent à toute allure portant la couleur crème avec fierté. À Londres on les reconnaît à leur forme singulière tel un chapeau haute forme, vêtues de noir et offrant un habitacle spacieux et des plus confortable. Ils sont certes moins sophistiqués à New York mais néanmoins distinctifs avec leur habit jaune flamboyant tapissé de damier noir et blanc qui déambulent par milliers à travers Manhattan alors qu'à Paris, Citröen et Peugeot sillonnent avec précision les innombrables rues étroites garnies de pavés, généralement habillées de noir, de marine ou de gris.

Je fais référence ici aux taxis. Au-delà de l'esthétique de la chose qui n'est certes pas sans intérêt, ce qui me frappe le plus dans des villes comme Zurich, Frankfurt, Londres, Paris et même New York c'est la rigueur dont font preuve les chauffeurs de taxis. C'est une chose bien connue qu'à Londres ne devient pas chauffeur de taxi qui le veut.

Rechercher dans ce blog